mercredi 11 mars 2015

L’aspect global de la médecine généraliste.

Le domaine de la médecine généraliste est construit sur une base théorique contraire à celui de la médecine spécialisée bien qu’ils mettent en avant des connaissances biomédicales de bases communes. Elle engendre un sujet unanime, centré sur le patient, accessible en dehors, observant la maladie comme l’ensemble des germes organiques, humains et environnementaux. Cette notion nécessite une école d’apprentissage spécifique, issu des sciences biologiques dans le but d’acquérir des compétences scientifiques et cohérentes. Elle doit centrer sur un approfondissement perfectionniste qui permet d’affiner et de confirmer son contenu. Cet aspect global assimile les fonctions précises de la médecine générale c'est-à-dire le premier recours, la prise en charge complet, la continuité et le suivi, la coordination et la gestion des soins…

Les compétences requises pour un médecin généraliste.

En tant que premier recours, le médecin généraliste doit être en mesure d’évaluer toutes les maladies
possibles d’affecter une personne. Il se charge des diagnostiques et de la prise de décision finale. En tant que tel, il doit savoir répondre à la majorité des motifs de recours aux soins, intervenir au stade précoce des maladies, gérer simultanément les plaintes et les pathologies multiples, effectuer une suivie à long terme, coordonner les soins, et surtout demeurer efficace. Il est donc évident qu’il possède des connaissances approfondis en médecine générale pour pouvoir endosser ces responsabilités et répondre aux attentes des usagers.

L’efficacité est le propre du médecin généraliste.

Le traitement des maladies encombre une tâche difficile pour les généralistes et demande des solutions simples tout en évitant une évolution défavorable. La proximité, la continuité et la coordination des soins, la connaissance de l’environnement du patient favorise la réponse médicale. Hervé Zacharie est un médecin généraliste qui préserve les notions de coût/efficacité et de coût/utilité c'est-à-dire qu’il restreint les coûts à leur vrai besoin et suggère au patient une attitude argue en termes de consommation de soins médicaux.   

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